Ces deux mots pour la plupart Tenant à un contre dix
C’est lointain et quelque part A moitié ensevelis
Dans un coin en Afrique Plus d’eau dans la position,
Un haut fait historique Ni vivres, ni munitions
Pour ceux qui étaient là-bas On ne pouvait plus rester
Ce n’est pas du tout cela Notre chef, sans hésiter
C ‘est un combat homérique Dit : on ne se rendra pas,
Cruel et dramatique On est pas venus pour ça.
Ceux qui étaient dans Bir-Hakeim La nuit venue on sortait
Légionnaires et marins La bataille continuait
Ces coloniaux, ces chers noirs Et pendant toute la nuit
Ces artilleurs pleins d’espoir La lutte fut sans merci.
Ces gars du Pacifique Des véhicules flambaient
Qui étaient magnifiques Le carnage s’amplifiait
Ils avaient tous, tout quitté Et quand le jour fut levé
Pour la France, la sauver la plupart étaient passés
Perdus seuls dans le désert, l’ennemi était joué
Ils en ont fait un enfer On leur avait échappé
Quand Allemands et Italiens Malgré leur encerclement
Ont voulu prendre le coin Et tous les bombardements
Seize jours, seize nuits, Par notre ténacité
Encerclés, et sans répit, l’Egypte était sauvée,
Bombardés par de gros canon Le Moyen-Orient aussi
Et des centaines d’avions. Par cet arrêt de l’ennemi
Tout cela est authentique
Absolument véridique
Une poignée de Français
Avait vengé leurs aînés.
Sébastien G. Moga du BM 2
Dit le P’tit-Chef
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