Reprise des traditions de la 1ère DFL par la 1ère Division installée à Besançon.
Le 1er juillet 2016 à 11h, la cérémonie de création de la Première Division a eu lieu sur la place d’armes du quartier Ruty à Besançon. Désormais, la Première Division de la force « Scorpion » (1ère DIV) est créée dans le cadre du plan de réorganisation de l’armée de terre « Au contact ».
Cette cérémonie a été présidée par le général de division Philippe LESIMPLE, commandant la Première Division et commandant d’armes de la place de Besançon. De hautes autorités civiles et militaires étaient présentes : Raphaël BARTOLT, préfet du Doubs, Eric ALAUZET, député du Doubs, Jean-Louis FOUSSERET, maire de Besançon, et Bruno DARY, le général d’armée (2S) et ancien gouverneur militaire de Paris, actuel président de la Flamme.
La Nouba, musique du Premier régiment de tirailleurs d’Epinal, a accompagné la cérémonie, au cours de laquelle dix jeunes engagés volontaires de l’armée de terre du 19e régiment du génie se sont vu remettre l’insigne de la Première Division par le colonel (h) Pierre ROBEDAT, ancien de la Première Division Française Libre et actuel président de l’Amicale de la 1ère Division Française Libre.
A l’issue de la prise d’arme a eu lieu l’inauguration de la plaque nominative du quartier.
L’Etat-major de la 1ère Division de Besançon commande désormais près d’un tiers de l’armée de Terre française.
Au Contact répond à la double nécessité de s’adapter aux évolutions du monde et des menaces. Il définit une nouvelle architecture d’armée, plus souple et dynamique. Capable d’intervenir sur les théâtres d’opérations extérieures comme sur le territoire national, la force SCORPION est articulée en deux divisions et six brigades interarmes densifiées : deux brigades blindées, deux brigades médianes (amphibies) et deux brigades légères (aéroportée et montagne).
La 1ère Division est composée d’un état-major, de 3 brigades interarmes, la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne, la 9ème Brigade d’Infanterie de Marine et la 7ème Brigade Blindée, de la brigade franco-allemande, de 26 régiments et d’une école de haute montagne, soit environ 25 000 hommes et femmes.
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